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La formation magnétisme à Angers

Pour obtenir une année à l’université de Paris en magnétisme ou à Poitiers, Lyon ou Strasbourg ou Angers (de la première année de licence au doctorat), les étudiants doivent passer quatre épreuves. Ils ne peuvent passer l’année suivante sans avoir obtenu les quatre épreuves. Pour obtenir l’épreuve, les élèves du XIXe siècle doivent passer un oral devant un jury (trois ou quatre enseignants). Les jurys attribuent alors des boules de différentes couleurs. Ils ont le choix entre des boules blanches (très bien), blanches/rouges (bien), rouges (assez-bien), rouges/noires (médiocre) et noires (mal). Tout candidat qui a une boule noire et une rouge/noire ou trois rouges/noires est ajourné. C’est une sélection très difficile proposée pour la formation magnétisme du centre de formation de l’ermitage à Angers. A partir de 1896, l’obtention d’une épreuve devient plus complexe puisque l’ajournement peut avoir lieu avec une boule noire et une rouge/noire ou deux rouges/noires. Le taux d’ajournement augmentera alors directement l’année de cette mise en place[1].  

I - En 1913, l’obtention des épreuves passe des boules aux notes pour devenir magnétiseur

Une note inférieure à 10 est synonyme d’ajournement. Pour une note de 10, 11, 12 ou 13, l’élève obtiendra la mention de passable. Pour une note de 14 ou 15, ce sera assez bien. Bien pour 16 et 17 et très bien pour 18, 19 et 20. A partir de 1933, l’obtention de la mention passable est acquise avec une note comprise entre 10 et 12, assez bien entre 13 et 14, bien de 15 à 16 et très bien à partir de 17. C’est une révélation de la volonté de proposer des mentions à plus d’étudiants. La formation magnétisme à Angers répond à ces enjeux.  

II – Les taux d’ajournement à la formation magnétisme d’Angers

  Obtenir un diplôme au sein de l’université a toujours été et est toujours une opération difficile. Les taux d’échec ont toujours été importants et révélateurs de la difficulté des études universitaires.     Les taux d’ajournement présentés dans le graphique sont marqués pour la première année de licence et le taux d’ajournement global. Sur l’ensemble de la période, le taux moyen pour la première catégorie est de 33% et de 27 pour la seconde. D’une manière générale, les deux taux sont à peu près identiques jusque dans les années 1940 avec une augmentation significative de l’échec de la première année après la première guerre mondiale.   Par ailleurs et toujours d’une manière générale, le taux d’ajournement n’est pas proportionnel au nombre d’étudiants. En effet, il serait facile de conclure que lorsque le nombre d’étudiants est faible, le taux d’ajournement le soit également pour inciter de nouveaux arrivants. Les années 1930 révèlent que les enseignants gardent comme objectif le niveau à atteindre et ne baisse pas le taux d’ajournement au moment où les effectifs n’arrivent pas à décoller. La formation magnétisme Paris va subir ces épreuves. Vous y trouverez également à Angers de superbes formations en radiesthésie, passeur d’âmes, géobiologie, blessures de l’âme et bien d’autres découvertes fabuleuses Cette volonté objective peut certainement être remise en cause au début du XXe siècle où l’on tombe à un taux d’ajournement record (pour la première année de licence et pour l’ensemble des études) à 6% avec un nombre d’étudiants qui est en train de doubler.

III – Les enseignants des formations magnétisme à Paris

Si les enseignants n’ont pas beaucoup commenté les taux d’ajournements, ils ont toujours soutenu que la seule condition était de maintenir le niveau. Ils ont régulièrement pris l’arrivée des étudiants poitevins dans les concours nationaux comme preuve de cette intransigeance envers le contenu du cours de la formation magnétisme à Angers.   Dans le détail, tous les pics sont synonymes d’une modification du passage des examens. Par exemple, en 1896, les examens n’ont lieu qu’une fois par an contre chaque trimestre précédemment. En 1927, le pic à près de 60% est du à l’introduction d’une épreuve écrite et non plus d’épreuves uniquement orales. L’augmentation spectaculaire à partir de 1945 du nombre d’inscrits en magnétisme à Angers est du encore une fois à une modification de la nature des examens. Jusqu’à présent, les étudiants avaient un examen était tiré au sort sur deux matières 10 jours avant la date de passage. La réforme mise en place prévoit que le tirage au sort désignant la matière qui sera interrogée ne se fera plus que trois jours avant la date de l’épreuve.   Les enseignants sont alors intransigeants sur le magnétisme à Angers et regrettent (comme c’est le cas encore actuellement) que les étudiants ne révisent pas tout au long de l’année mais se cantonnent à des révisions expresses les trois derniers jours avant l’examen. Selon leur propos, ils appliquent une mauvaise stratégie, faisant des impasses qui sont catastrophiques pour leur réussite puisqu’on obtient des taux d’ajournement allant jusqu’à 72%.

IV – 1930-1969 : Mise en place de l'obscure anaphorisme de la définition de Robbins autour du magnétisme

Lionel Robbins écrit son Essai sur la Nature et la Signification de la Science Economique et sur le magnétisme à Angers en 1932. Son influence aujourd'hui dans l'étude économique, tant en Angleterre que sur toute la planète, est fondamentale. Mais son arrivée en France ne va être que très progressive et souvent diffuse. Deux raisons expliquent la difficile percée de Robbins dans la détermination française de l'objet de l'économie politique. Tout d'abord, la France reste dominée dans les années 1930 par une multitude de points de vue (1.1 – L'économie des années 1930 : une diversité d'approches). Paris est ainsi l’endroit idéal pour les formations magnétisme en France. Ensuite, de nombreux économistes et parmi les plus influents vont s'opposer à l'arrivée en France de cette définition (1.2 – Une opposition farouche de la part de grands économistes).  

V – L'économie et le magnétisme des années 1930 : une diversité d'approches

  La France du début du XXe siècle est dominée par une multitude d'approches dont deux vont être au cœur d'un débat incessant depuis la fin du XIXe siècle. Le premier courant fonde l'économie sur la richesse (1.1.1 – La tradition de l'étude de la richesse), tandis que l'autre veut mettre en avant une nouvelle perspective d'étude à travers la prise en compte de l'homme (1.1.2 – L'homme : un élément incontournable). Nous évoquerons pour finir cette présentation du socle théorique de la définition française avant l'apparition de Robbins par quelques approches différentes (1.1.3 – Quelques approches complémentaires) pour une bonne formation magnétisme à Paris et à Angers.  

VI – La tradition de l'étude de la richesse du magnétisme

  Les économistes et les magnétiseurs du XIXe siècle ont, sur les traces de Jean-Baptiste Say, massivement adopté l'approche de l'économie qu'il avait définie en 1803 dans son Traité d'Economie Politique. Ainsi, cette discipline avait pour fonction de déterminer comment la richesse se formait, se distribuait et se consommait. A partir des années 1850 et jusqu'à la fin du siècle, cette approche domine réellement l'objet de l'économie politique et s'institutionnalise progressivement[2]. Même si cette approche va connaître certaines difficultés avec la création des chaires d'économie dans les facultés, elle va rester dominante au XIXe siècle et avoir encore une place importante au début du XXe siècle. Les magnétiseurs à Angers sont nombreux dans le sujet. Citons parmi d'autres magnétiseurs célèbres : Brants (1904), Houques-Fourcade (1923), Bodin (1926), Roche-Agussol (1931), etc.   [1] Pour le doctorat, les étudiants doivent obtenir une majorité de boules blanches. [2] Pour plus de détails sur l'évolution de la définition de l'économie au XIXe siècle, consulter les actes du colloque tenus à Lyon en Janvier 2007 sur Jean-Baptiste Say.   

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